Réalisation d'un audit "Qualité Tourisme" par l'OTC du Seignanx



l'Office de Tourisme Communautaire du seignanx a mis en place une démarche qualité en vue de l'obtention de la Marque "Qualité Tourisme" . Cette démarche (reconnue au niveau national), permet aux Offices de Tourisme de revoir l'intégralité de leur organisation interne pour offrir une meilleure prestation vis à vis des élus, des prestataires touristiques, de la population locale et des visiteurs.

L'organisation interne implique les procédures de travail des agents et la formalisation de l'ensemble des actions de l'office . 170 critères sont examinés dont 130 obligatoires et l'organisme audité doit respecter au moins 85% de l'ensemble des exigences.

Afin de procéder à cet audit, l'Office de Tourisme procède à une consultation de cabinets experts dans cette procédure.
C'est le cabinet "Marketing, Conseil, Audit" ALEX'M CONSEILS situé à Chambéry qui a été retenu par le Directeur et la Présidente pour cette mission.

Le Comité Départemental du Tourisme des Landes accompagne les offices de Tourisme dans cette démarche.

Montant de la participation

Le Conseil général des Landes participe au financement de ces audits dans le cadre du Règlement départemental d'aides au tourisme et au thermalisme

L'Office de Tourisme du Seignanx a bénéficié, d'une aide du Conseil Général à hauteur de 878,40 € représentant 72% d'un coût global de prestation de 1 220 € HT

Le Département dans l'impasse budgétaire

Des dotations financières gelées pendant 3 ans, une chute des droits de mutation, une perte de 70% de pouvoir fiscal, des dépenses sociales en forte hausse, la sanction est mathématique : le Conseil général est au bord de l'asphyxie financière. Le montant des charges sociales augmentent en moyenne de 5 à 6 millions d'euros par an et la compensation financière ne suit pas. Pour la seule année 2010, l'Etat doit 40 millions d'euros à la collectivité, 189,5 millions depuis 2004.

La situation financière du Département est grave, elle l’est plus encore dans la conjoncture actuelle où l’accroissement de la population s’accompagne d’une demande sociale forte. En témoigne le nombre de bénéficiaires du RSA, qui est passé de 5 611, en juin 2009, à 6 472 en juin 2010 (+15%). Cette montée en charge n'épargne pas l'APA (+8%) et la PCH (+ 600%! depuis janvier 2007). Lors de la séance budgétaire du 8 novembre, le président du Conseil général, Henri Emmanuelli, a annoncé, que le Département ne financera l'intégralité des dépenses du Revenu de solidarité active (RSA) que si l'Etat, de son côté, assume le coût du transfert de ces compétences sociales. « Si ce n'est pas le cas, résume Henri Emmanuelli, j'envisage, tout simplement, de cesser les versements à la CAF ». La réforme fiscale a amputé les Départements d'une manne conséquente à travers la suppression de la taxe professionnelle et le transfert au bloc communal de la taxe d'habitation. "Avant, nous avions le levier de la taxe professionnelle, qui nous rapportait 2,4 millions d'euros. Aujourd'hui, l'Etat nous encourage à transférer la 'casse sociale ' sur la fiscalité des Landais", commente H.Emmanuelli. Quelle solution ? Augmenter le foncier bâti - de 15 à 20% par an – pour assurer le versement des allocations ? Diminuer l’investissement public local pour assurer la solidarité nationale ? Les inconnues qui persistent autour de la réforme des collectivités territoriales ne devrait pas apporter de réponses immédiates.

Même si le projet de réforme ne devrait finalement pas enlever aux Départements le droit d'agir en leur faveur, le tourisme, la culture ou encore le sport risquent bien de devenir les parents pauvres de cette politique de rigueur. En 2010, le Conseil général avait déjà limité ses interventions. Les moyens généraux ont été réduits de 2,4% et les subventions de fonctionnement de 10%. Face à la dégradation des finances départementales, la crainte d'une nouvelle baisse plane sur ces secteurs. "C'est inutile de revenir sur ces compétences, si nous n'avons pas les moyens financiers de les assumer", s'insurge Henri Emmanuelli. Le gel des dotations de l'Etat et la réduction de sa capacité à lever l'impôt pourraient conduire le Conseil général des Landes, sans doute au-delà de ces secteurs, à resserrer l'ensemble de ses dépenses.

Recours devant le Conseil constitutionnel


La non-compensation des prestations sociales a conduit le Conseil général à s'associer à la démarche d'une soixantaine de Départements. Première étape de l'action initiée par l'Assemblée des départements de France (ADF), Henri Emmanuelli a adressé, le 6 octobre, un courrier à François Fillon demandant le rééquilibrage du financement des dépenses sociales obligatoires des départements (Allocation personnalisée d'autonomie, Prestation de compensation du handicap, Revenu de solidarité active). En cas de réponse insatisfaisante, le Département demandera au Conseil d'Etat l'annulation de la réponse du Premier ministre et saisira le Conseil constituitionnel. Un processus juridique long et complexe en réponse au "cynisme assez insupportable" vis-à-vis des collectivités territoriales, selon Henri Emmanuelli. Aujourd’hui, le Département est le seul ou presque à devoir supporter les charges des allocations de solidarité. En 2009, l'APA, le RSA et la PCH représentent une dépense globale de 70M d'euros. La loi prévoit que l'Etat compense de 50% à 100% ces prestations. Pour la seule PCH, censée être compensée à 100%, l'Etat n'assure que la moitié du financement. Une situation intenable qui contraint le Département "soit à s'endetter, soit à reporter ces charges sur l'impôt des Landais", appuie Henri Emmanuelli. Si les Départements obtiennent gain de cause devant le Conseil constitutionnel, ce dernier peut contraindre l'Etat de compléter ses lois par un dispositif financier équitable. Une issue encore lointaine.

Henri Emmanuelli - "Je ne suis pas l'aile gauche"

http://www.youtube.com/watch?v=nJPvWYtZMQ8

A écouter et à méditer avant 2012.

Quel Avenir pour les Services Publics ?


Soirée débat organisée par la section cantonale du Seignanx du parti socialiste.

Vendredi 26 Novembre
20h salle Capranie à Ondres



en présence de

Razzyze Hammadi secrétaire national du PS
Jean Pierre Dufau député Maire de Capbreton


Les services publics,
notre bouclier social


Depuis 2002, la droite a :
SUPPRIMÉ des dizaines de milliers de postes dans l’éducation, la
police nationale, l’hôpital…

ORGANISÉ l’affaiblissement de l’hôpital public pour le soumettre
à une logique marchande.

PRÉCARISÉ La Poste afin de justifier son changement de statut et
sa privatisation.

PRIVATISÉ GDF malgré la promesse de campagne de Nicolas
Sarkozy de ne pas remettre en cause le statut de l’entreprise.

PLANIFIÉ le sous-financement du réseau EDF, le démantèlement
des agences de proximité, l’externalisation en direction du privé en
vue de la privatisation que prépare la droite.

Jamais les services publics n’ont été aussi difficile d’accès,
autant menacés et si peu protégés des intérêts marchands.


Le Parti Socialiste propose de :
RENFORCER la formation des enseignants et augmenter leur
recrutement.

REDUIRE le coût d’accès à la santé pour les citoyens.

SAUVER les services publics de l’énergie, de la Poste, de l’emploi,
des transports et renforcer celui de l’eau.

PERENISER les services de la justice et de la sécurité.

Dans tous ces domaines, le service public doit être un droit pour
chacun et protéger les plus faibles.